Editions LIRE ET MEDITER
Carjo Mouanda a été remarqué lors de sa participation à l'anthologie des Poètes de Monde, en 2011. Il signe son premier né en solo aux Editions LIRE ET MEDITER, avec la préface d'Abbassia NAIMI. Mais qui est Carjo Mouanda ?
Né le 05 Avril 1980 à Pointe-Noire au Congo, il a poursuivi ses études secondaires au Congo puis universitaires au Sénégal. Il découvre dès le collège l'univers poétique et y trouve une forme d'expression libre pour exprimer l'indignation, la révolte et le désir ardent de vérité. Il peint dans ses vers le quotidien des villes africaines pour éveiller les consciences et braver le silence, l'injustice, l'opprobre et la désolation. Il met en lumière les valeurs essentielles d'une civilisation qui perd ses repères et qui évolue en marge d'un développement socio-économique que connaît le reste de la planète.Passionné de Poésie et de littérature, il a voyagé un peu partout et en particulier, il a été l'invité du Festival de poésie de Bougainville.
On ne peut rester insensible lorsqu'il implore :
O ma force
O mon amour
Rebâtissez ma case
Reconstruisez mon village
Je suis moi
Je suis L'Afrique
Cri de douleurs est une expiration de la révolte intérieure de l'être. Un livre dans lequel le poète exhorte l'Afrique à prendre un nouveau départ. Un cheminement en profondeur autour de la situation en Afrique et plus particulièrement au Congo, pays natal du poète.
"Carjo Mouanda ne cède pas à la facilité littéraire qui souvent, à force de mots outranciers ou surabondants, annihilent paradoxalement l'impact des écrits poétiques. Rien de tel chez lui: une écriture sobre, concrète, naturelle pour dire, entre ces pages versatiles de l'histoire, la solitude du poète, la liberté baillonnée, le refus dêtre confondu aux fantômes ou aux traîtres "
Extrait du journal suisse edelweissmag
"L'Afrique, autrefois dévastée par le monde qui se dit
civilisé, se meurt aujourd'hui sous nos yeux. Des
Ventres épuisés par la faim, par les cris qui semblent
s'éteindre dans le trou noir des communications à
sens unique ? Le poète questionne le monde. Il
voudrait croire encore à l'espoir de la parole et à la
force du verbe.
… / Quand atteindrons-nous le seuil de la liberté /
Pour gérer nos affaires familiales ? / Afin que cette
vie calamiteuse d’hostilité / Dorme dans l’ignorance
acerbe des sans-voix, / Que l’espoir nourri le verbe
de nos ventres épuisés. /"
Extrait de la préface d'Abbassia NAIMI
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Voir la liste des poèmes page 48
Voir la liste des poèmes page 49
CRI De Douleurs de Carjo Mouanda
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